Pour le Chef du département ministériel, c’ était une occasion de voir de plus près l’ État des lieux de la Délégation départementale,
État du personnel, des matériels, de la logistique, fonctionnement, difficultés, besoins, situation de la lutte contre le braconnage, le déplacement des éléphants, l’occupation des corridors de migration des animaux, exploitation du bois débité vers le Tchad et le Soudan. Il était également question pour Jules Doret Ndongo, de constater l’ampleur mieux l’écart infrastructurel entre cette délégation et bien d’autres du grand Sud du pays. Aussi, le ministre Doret Ndongo, répondant aux cris de détresse et aux préoccupations croissantes sur les impacts négatifs de la dégradation des terres, de la désertification, et plus particulièrement sur les conditions de travail de ces collaborateurs travaillant de ce côté, a dit qu’il fera le maximum avec les moyens mis à sa disposition. Il est à considérer que ces doléances mises bout a bout, dégradent la stabilité socio-économiques. Le constat est plus clair, la délégation départementale, nécessite plusieurs travaux, un nouveau bâtiment, au moment où l’insuffisance de personnel se fait ressentir tout comme les moyens financiers déjà dérisoire. Jules Doret Ndongo, a profité de cette occasion pour exhorter ses collaborateurs à la sérénité, à la collaboration et à plus d’ardeur au travail pour l’atteint des objectifs assignés à son département ministériel.

Le ministre des Forêts et de la Faune était accompagné du Directeur de la Faune et des Aires protégées, du directeur de la promotion et de la transformation des produits forestiers, du Directeur des affaires générales, de la Cheffe de la Cellule de Communication, de la Cheffe de la Cellule de Suivi, et bien d’autres responsables venus comme élites.
