Le groupe de réflexion de la Beac, fort de 38 membres, doit encore finaliser, pendant de nombreux mois, la réflexion sur les points se rapportant, entre autres, aux différentes options de supervision des Caisses de dépôts et consignations ainsi qu’aux modalités de régulation des fonds en déshérence. Pendant ce temps, la tête de l’organisme camerounais est maintenue dans l’eau.