La discrimination basée sur la parenté ou les liens familiaux avec des
personnalités politiques est une pratique regrettable qui peut entraver l’égalité des chances et la méritocratie. Il est important de juger les individus sur leurs compétences, leurs qualifications et leurs actions, plutôt que sur leur famille ou leurs relations.
Au Cameroun, la Constitution garantit l’égalité des droits et des chances pour tous les citoyens, sans distinction de naissance, de race, de sexe, de religion ou d’origine sociale. La loi fondamentale stipule également que les nominations et les élections doivent se faire sur la base du mérite et de la compétence sous réserve de la nécessité de garantir les nécessaires et impérieux équilibres sociologiques.
Notre responsabilité cognitive en débat?
Il est essentiel de promouvoir une culture de mérite et de transparence dans la vie publique, où les décisions sont prises en fonction des intérêts du pays et non des intérêts personnels ou familiaux. Les Camerounais sont libres de choisir leurs dirigeants et de participer à la vie politique sans être discriminés en raison de leur famille ou de leurs relations.
Depuis les appels à la haine,les propos haineux ou le mensonge sous fond de conquête, le vrai debat serait de lutter contre cette forme de discrimination
il est important de :
– Sensibiliser sur l’importance de l’égalité des chances et de la méritocratie
– la promotion de la transparence et la responsabilité dans la vie publique
– la prise des mesures pour prévenir et sanctionner la discrimination
– le soutien aux initiatives qui visent à promouvoir la participation citoyenne et la bonne gouvernance
– la sauvegarde des fragiles acquis d’unité, de paix et de stabilité issus des traditions et de l’histoire commune.
La situation qui fait le buz, ce jour, est un exemple concret de la perception de népotisme et de favoritisme qui peut exister dans certains cercles de pouvoir. Il est important de noter que ces allégations doivent être traitées avec prudence et objectivité, car elles peuvent être utilisées pour discréditer des individus ou des familles sans fondement.
Cependant, il est tout à fait légitime de se poser des questions sur l’équité et la transparence dans les processus de sélection et de nomination, en particulier lorsqu’il s’agit de postes importants ou de concours publics. Les institutions et les autorités compétentes ont un rôle important à jouer pour garantir que les processus soient justes, transparents et basés sur le mérite.
Dans le cas spécifique des enfants du président Paul Biya, ou de toute alluvion similaire, il est important de rappeler que les informations disponibles sont souvent limitées et peuvent être sujettes à interprétation. Il est donc essentiel de se référer aux faits vérifiables et de ne pas se laisser influencer par des rumeurs ou des spéculations.
En fin de compte, la question de la compétence et de la légitimité des individus à occuper des postes de responsabilité doit être évaluée sur la base de leurs qualifications, de leurs réalisations et de leur intégrité, plutôt que sur leur famille ou leurs relations.
La polémique autour de Cathy Meba, qui se présente à la présidence du Conseil régional du Sud, est un sujet brûlant au Cameroun. En tant que nièce du président Paul Biya et conseillère régionale sortante, elle est vue comme une candidate de poids pour diriger la région.
Et elle en a ,et les atouts intreseques et de l’expérience politique . Elle,comme tous les autres ,vendent son programme de campagne, qui d’ailleurs est visible sur l’espace public.
Quid des critiques et les questions mal posée ?
Prenons ce népotisme dont certains accusent Cathy Meba de bénéficier du fait de son lien de parenté avec le président pour accéder à des postes de pouvoir. Ou simplement de la compétence que d’autres plus hypocrites questionnent . Sur sa capacité à diriger la région, malgré son expérience politique
La situation de Cathy Meba, qui se présente à la présidence du Conseil régional du Sud, est donc une fresque rigoureuse de la perception de népotisme et de favoritisme qui peut exister dans certains cercles de pouvoir.
Il est important de noter que ces allégations doivent être traitées avec prudence et objectivité, car elles peuvent être utilisées pour discréditer des individus ,des communautés ou des familles sans fondement.
Cependant, il est tout à fait légitime de se poser des questions sur l’équité et la transparence dans les processus de sélection et de nomination, en particulier lorsqu’il s’agit de postes importants ou de concours publics. Les institutions et les autorités compétentes ont un rôle important à jouer pour garantir que les processus soient justes, transparents et basés sur le mérite.
Dans le cas spécifique de Cathy Meba, ou si vous etes attentif,des autres delits de patronyme comme le subissent son frere Evrard Meba ou Junior,franck emmanuel Biya, il est important de rappeler que les informations disponibles sont souvent limitées et peuvent être sujettes à interprétation. Il est donc essentiel de se référer aux faits vérifiables et de ne pas se laisser influencer par des rumeurs ou des spéculations . D’où le risque à manipulation,désinformation ou intoxication electoraliste en vu de prolonger un débat par la distraction.
Le Sud, comme toutes les régions ne sauraient se permettre d’envenimer la logique irredentiste entretenue par les adeptes du TOUT SAUF BIYA,ni par acte, action,en pensée, par omission ou en paroles. Au contraire ! La réaction,à encourager pour toute victime,de ces « enfants mort-né politiquement » est dons à contextes.
Comme la CARPE, QUI REFUSE D’ÊTRE JUGÉE A SA CAPACITÉ A MONTER SUR UN ARBRE, ils ne demandent qu’à être compris.
En fin de compte, la question de la compétence et de la légitimité des individus à occuper des postes de responsabilité doit être évaluée sur la base de leurs qualifications, de leurs réalisations et de leur intégrité, plutôt que sur leur famille ou leurs relations.
Le concours a l’expression du suffrage est du domaine de la loi mais implicitement une exclusivité des partis et formations politiques . On l’oubli à dessein dans l’espèce et l’espace qu’il ya en amont une discipline du parti,une exigence légale et réglementaire qui déterminent les choix sur l’impetrant .
Et la cause,si la décision finale reviend aux conseillers régionaux, qui choisissent leur président du Conseil régional du Sud,Il est important que ce choix soit fait de manière transparente et équitable, en tenant compte,certes des besoins et des intérêts de la région,mais dans une nessessaire appropriation de notre unité sociologique,culturelle et démocratique.
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